Peut-être que pour certains, parler de placer une pensée dans son cœur est une absurdité. Certes il est déjà difficile de clarifier une pensée si le mental lui-même reste dans la confusion. Mais celui qui a compris et appliqué les disciplines de l'esprit découvrira la beauté de cette méthode.
Pour avancer fermement, solidement et avec lucidité, sur l'étonnant sentier de la grande transformation, il est important de saisir d'emblée une vérité : quel que soit notre signe de naissance et notre thème astrologique, chacun est pleinement concerné par tous les signes. Notre Esprit voit, comprend, entend et vit les significations, dans le sens de la synthèse, au-dessus si on peut dire, de
la roue zodiacale.
La personnalité qui vit dans son environnement matériel cherche à comprendre la vie de façon
analytique, séparative, par en-dessous.
Dans le Lion, notre chemin évolutif d'humain incarné consiste justement à nous transporter au-dessus de ce conditionnement, considérant la vie à partir d'une vision globale. Le Lion nous donne à tous la force et le pouvoir de faire un grand pas, un saut dans le bon sens, pour peu que l'on en ait l'audace.
Dans l'énergie de cette constellation, la conscience en nous progresse par affirmations sur le plan
mental : d'abord la conscience de la personnalité, puis la conscience de l'Esprit et enfin la conscience
du Tout. Lorsque nous progressons dans la maîtrise du mental, nous apprenons à travailler à partir de la posture symboliquement « en-dessus », dans l'identité de l'Esprit et non pas de toute évidence à partir de la position « en-dessous », laquelle dit : pour éviter tout effort, il ne faut surtout pas penser !
Chaque humain est libre de son choix, continuer à se traîner lourdement en évitant les véritables
efforts de l'évolution auxquels tout le cosmos nous invite, ou bien, courageusement, avec audace et
confiance, s'élancer au-delà. Nous sommes comme des chenilles qui sont invitées par la Grande Vie, à devenir papillons.
Il existe un nombre toujours croissant de ces humains qui écoute, entend et considère que la pensée doit être réorientée vers le haut. Il s'agit de penser autrement, comme si nous étions déjà arrivés au-dessus des conditionnements de la personnalité.
Parfois les humains sont prêts à accepter le pouvoir de la pensée, mais quels sont ceux qui
l'expérimentent ? Ils aspirent à de nobles pensées mais laissent leur mental encombré de futilités.
Toutes activité créatrice commence donc par la discipline de la pensée et ouvre la porte aux plus
grandes possibilités. Comment se convaincre de la nécessité de surveiller et clarifier ses pensées si ce
n'est par la prise conscience des responsabilités qui incombent à chacun ?
Soyons optimistes. Pacifistes. Bienveillants. Pensons à grande échelle plutôt que de succomber à
l'individualisme si vital à la logique (illogique) de surconsommation, nerf de la guerre du Dieu argent qui décide de tout au profit d'une poignée de vautours cupides et au détriment des plus faibles.
Se résigner, se dire qu'on ne peut plus rien pour changer les choses ? Certainement pas !
On peut tout à fait voir ce qui ne va pas dans le monde, sans être ni économistes, ni sociologues, ni
historiens, ni politologues, ni philosophes, tout en ayant l'humilité de dire qu'on ne sait pas toujours ce qu'il faut faire. Nous savons que l’être humain peut être une bestiale bestiole, il l'a largement prouvé, nous croyons aussi qu'il est capable de réparer les erreurs qu'il a commises. Freinons. Réfléchissons.
Les ailes du mental existent, à nous de les développer et de les utiliser. Procédant ainsi, nous
effaçons sans y penser les anciens programmes qui nous retiennent dépendants de la personnalité. Ce
lieu secret, protégé, silencieux, où s'élabore la vraie pensée créatrice de l'esprit, c'est le cœur, et chacun le porte en soi, à tout endroit, là où il se trouve.
C'est la voie de synthèse ou la conscience et le cœur fusionnent. Dans la lumière intérieure chaude et vivifiante du coeur , pensons encore et toujours " bienveillance" et nous deviendrons
« bienveillance ». L’énergie du cœur contient en elle-même le mécanisme du changement, ceci nous
éclaire sur la note-clé du signe du Lion, « Je suis cela et cela c'est moi ! »
Le Sentier Lion 31/07/2015
La première édition du festival Sofilm summercamp, aura lieu du 8 au 12 juillet à Nantes. Quarante films seront projetés en plein air et dans trois cinémas.
Trois ans après le lancement de son magazine, Sofilm se lance dans une première édition d'un festival de cinéma. Il propose un regard "décalé" sur le septième art.
Quarante films vont être projetés dans différentes salles nantaises, du Katorza, Gaumont, et Concorde. Mais aussi en plein air, à la tombée de la nuit : cale des sous-marins (près des nefs, à côté du carrousel des mondes marins) et au jardin des Plantes. Des grands classiques, mais aussi des films plus confidentiels, récents ou anciens, sont proposés. Cinq films présentés au festival de Cannes 2015 seront projetés en avant-première.
Sofilm Summercamp, du 8 au 12 juillet, à Nantes.
Programme :
MERCREDI 8 JUILLET• Katorza/19 heures > 21 h 30 : Ouverture puis THE LOBSTER, de Yorgos Lanthimos (2015) - 1 h 58• Stereolux/21 h 30 > une heure : Music & drinks• Cale des sous-marins/22 h 45 : FRENCH CONNECTION, de William Friedkin (1971) - 1h44.Le Nid/0h00 > 4 h 00 - La Variable.
JEUDI 9 JUILLET• Katorza/14 h 30 > 17 heures : Albert Serra présente CUTTER’S WAY, de Ivan Passer (1981) - 1h39.• Concorde/16h > 19 heures : Jean-Charles Hue présente REQUIEM POUR UN MASSACRE, de Elem Klimov (1985) - 2h16.• Gaumont/16h30 > 18h30 : Chantal Goya présente LES AVENTURES DE RABBI JACOB, de Gérard Oury (1973) - 1h40.• Honolulu/18h00 > 20h15 : Honolulu et Seilman-Bellinski présentent CINÉ-CONCERT DYONISUS IN ‘69, de Brian de Palma et Richard Schechner (1970) - 1h25.• Katorza/19 heures > 21h : Courts-métrages malgaches.• Gaumont/19 h > 21 h 30 - So Foot et Jérôme Champagne présentent UNITED PASSIONS, de Frédéric Auburtin (2014) - 1h50.• Concorde/20h > 22h15 - VERS L’AUTRE RIVE, de Kiyoshi Kurosawa (2015) - 1h 57.• Millefeuilles/21h > 22h30 - Millefeuilles et Andy Guérif présentent LA MAESTA DI DUCCIO, de Andy Guérif (2015) - 45’• Katorza/21h15 > 23h45 - Jean-Pierre Léaud et Chantal Goya présentent MASCULIN FÉMININ, de Jean-Luc Godard (1966) - 1h40.• Stereolux/21 h 30 > une heure : Music & drinks• Jardin des Plantes/22 h 45 > une heure - PARIS,TEXAS, de Wim Wenders (1984) - 2h17. Avec Aux Heures d’Été.• Le Nid/0h00 > 4 h 00 - La Variable.
VENDREDI 10 JUILLET• Concorde/14h > 16h15 - Jean-Pierre Léaud présente LE DÉPART, de Jerzy Skolimowski (1967) - 1h33.• Katorza/14 h 30 > 16h30 - Jean Narboni et Bruno Deloye présentent LA MACHINE À TUER LES MÉCHANTS, de Roberto Rossellini (1952). 1h20• Gaumont/16h > 18h45 - So Foot et Jean-François Stévenin présentent À NOUS LA VICTOIRE, de John Huston (1981) - 1h56.• Katorza/17h30 > 19h45 - Jean-Marc Rouillan présente MANGE TES MORTS, de Jean-Charles Hue (2014) - 1h34.• Concorde/19 heures > 21h15 - Benoit Forgeard présente GAZ DE FRANCE, de Benoit Forgeard (2015) - 1h26.• Gaumont/20h > 22h30 - L’EXORCISTE, de William Friedkin (1973) - 1h37.• Katorza/20h30 > 23h - Hervé Aubron présente CEMETERY OF SPLENDOUR, de Apichatpong Weerasethakul (2015) - 2h02.• Stereolux/21 h 30 > une heure : Music & drinks• Concorde/22h30 > 4h - Benoit Forgeard présente PARADIS POUR TOUS, de Alain Jessua (1982) - 1h40 +NOTRE-DAME DES HORMONES, de Bertrand Mandico (2015) - 31mn + LE SUCRE, de Jacques Roufio (1978) - 1h44 + STEAK, de Quentin Dupieux (2007) - 1h22.• Cale des sous-marins/22 h 45 > 0h45 - RÉVEIL DANS LA TERREUR, de Ted Kotcheff (1971) - 1h54 (interdit - 12 ans).• Le Nid/0h00 > 4 h 00 - La Variable.
SAMEDI 11 JUILLET• Concorde/14h > 16h15 - Serge Bozon présente ZIG ZIG, de Lazlo Szabo (1975) - 1h29.• Katorza/14 h 30 > 16h30 - Pierre Rissient présente DRAGON GATE INN, de King Hu (1967) - 1h51.• Gaumont/17h30 > 19h45 - So Foot et À la nantaise présentent STANDARD, de Benjamin Marquet (2012) - 1h28.• Katorza/18h > 20h30 - Patricia Mazuy présente APPORTEZ-MOI LA TÊTE D’ALFREDO GARCIA, de Sam Peckinpah (1974) - 1h52.• Lieu à déterminer/18h00 > 19h30 - Master class «Pourquoi faut-il prendre des risques ?» par Vincent Maraval.• Gaumont/19h30 > 21h45 - Lætitia Dosch présente DISJONCTÉ, de Ben Stiller (1996) - 1h36.• Concorde/20h30 > 0h15 - Pierre Rissient présente A TOUCH OF ZEN, de King Hu (1971) - 3h20.• Katorza/21h > 23h30 - Frédéric Taddéi présente MYTHO-MAN !, de Ricky Gervais (2009) - 1h40.• Stereolux/21 h 30 > une heure : Music & drinks• Gaumont/22h30 > 1h30 - Gaspar Noé et Vincent Maraval présentent LOVE, de Gaspar Noé (2015) - 2h10 (interdit - 18 ans).• Cale des sous-marins/22 h 45 > 0h15 - LA DAME DE SHANGAÏ, de Orson Welles - 1h27.• Le Nid/0h00 > 4 h 00 - La Variable.
DIMANCHE 12 JUILLET• Concorde/14h > 16h - Noël Godin présente SOLO, de Jean-Pierre Mocky (1970) - 1h23.• Katorza/14 h 30 > 16h30 - So Foot et Nicolas Ouédec présentent LES ARBITRES, de Yves Hinant, Éric Cardot et Delphine Lehericey (2009) - 1h17.• Gaumont/14 h 30 > 17 heures - FOOT ET IMMIGRATION : 100 ANS D’HISTOIRE COMMUNE, de Éric Cantona (2014) - 1h26, suivi d’un entretien entre Éric Cantona et Frédéric Taddéï.• Concorde/16h30 > 19 heures - Emmanuelle Bercot présente MINNIE ET MOSKOVITZ, de John Cassavetes (1971) - 1h54• Katorza/17 heures > 19h45 - MUCH LOVED, de Nabil Ayouch (2015) - 1h38.• Concorde/19h30 > 21h15 - Rachida Brakni présente COCKFIGHTER, de Monte Hellman (1974) - 1h23.• Gaumont/20h30 > 22h30 - MIA MADRE, de Nanni Moretti (2015) - 1h46.• Stereolux/21 h 30 > une heure : Music & drinks• Cale des sous-marins/22 h 45 > 0h45 - LE CORNIAUD, de Gérard Oury (1965) - 1h51.


































