mardi 10 juillet 2018

All rescued


Hooyah!

dimanche 8 juillet 2018

Soyez en sûrs

  
Tout ce qui nous est nécessaire viendra à nous    sans que nous ne le demandions

samedi 7 juillet 2018

vendredi 6 juillet 2018

En avant !


Notre jardinier en chef équipé pour la Tonte
chapeau, masque , gants


Ils le savaient déjà


Qu'ils seraient tous les trois bacheliers mentionnés , Camille, Nico et Nemo.

En attente du résultat


    Une photo de François Xavier Antonini

    Résultat : Mention Très Bien ....





Et avec ses 6 mois de moins le cousin suit avec une mention Bien  Moyenne 15 



Bravo mes petiots ! 

jeudi 5 juillet 2018

Johnnie Mullins


Un musicien magique 


II is with great sadness that we  learned of the passing of my Johnnie Mullins
A true legend. Galway will never be the same! Rest easy my friend!


Pas un pet de vent


    Une photo de Gary Banks ----Connemara today .

Sur les murs de Romans


Des Roman..ichels
Dont mon frère Michel  ( 2eme rangée à gauche quand on regarde ! )

mercredi 4 juillet 2018

Kafka et la poupée

Publié sur Facebook par Don Stitt
Franz Kafka, the story goes, encountered a little girl in the park where he went walking daily. She was crying. She had lost her doll and was desolate.
L'histoire raconte que Frantz Kafka rencontra dans un parc  où il allait chaque jour marcher, une petite fille en larmes car elle venait de perdre sa poupée et ne pouvait s'en consoler 
Kafka offered to help her look for the doll and arranged to meet her the next day at the same spot.
Kakfa offrit de l'aider à la retrouver et lui donna rendez-vous au même endroit le lendemain 
Unable to find the doll he composed a letter from the doll and read it to her when they met.
Comme il n'avait pas retrouvé la poupée il écrivit une lettre de sa part et la lut à la petite fille lors de leur rencontre
'Please do not mourn me, I have gone on a trip to see the world. I will write you of my adventures.' 
S'il te plait ne me pleure pas . Je suis partie pour un voyage autour du monde . Je t'écrirait pour te raconter mes aventures 
This was the beginning of many letters. When he and the little girl met he read her from these carefully composed letters the imagined adventures of the beloved doll. The little girl was comforted.
Ce fut le début de plusieurs lettres . Quand il rencontrait la petite fille, il lui lisait ces textes attentivement composés qui rapportaient les aventures imaginées de la poupée bien aimée . La petite fille était consolée.
When the meetings came to an end Kafka presented her with a doll. She obviously looked different from the original doll. An attached letter explained 'My travels have changed me.'
Quand les rencontres touchèrent à leur fin Kafka lui offrit une nouvelle poupée . Elle était différente de l'originale évidemment. Mais une lettre jointe l'expliquait : " Mes voyages m'ont transformée" 
Many years later, the now grown girl found a letter stuffed into an unnoticed crevice in the cherished replacement doll.
Des années plus tard la petite fille devenue grande découvrit une lettre glissée dans une fente  jamais remarquée de la nouvelle poupée chérie elle aussi 
In summary it said:
*Every thing that you love, you will eventually lose, but in the end, love will return in a different form.'*
En gros elle disait :  Tout ce que tu aimes , tu le perdras mais au bout du compte cet amour te reviendra sous une autre forme. 

- Kafka and the Doll, The Pervasiveness of Loss

Le manque d'Amour


Le manque d'amour nous fabrique des bras vides.
À force, on devient vite une pieuvre de l'inutile présence.
Il faut serrer le sourire et la taille, enlacer tout un être dans nos pensées, dans nos regards ou alors on s'efface, on disparaît à soi-même ; nous voilà devenu petit soldat de l'inutile présence.
Bras morts qui ne vont plus au cœur, arbre aux saisons, aux racines, disparues.
Le manque d'amour déforeste les âmes.
Jaques DOR
[transmis par Catherine Smits]
Photo : Irène Layous - Transmis par Maela 

lundi 2 juillet 2018

Une merveille de photo


                                                                  Tableau....   Au bord de l'eau

Serions nous trop civilisés ???


Irlande... Laissez-vous emporter



Pour expérimenter le " bonheur incroyable"  

                                                            Allez dans le Connemara


                                                                   
N'importe quand : ça le fera ! 

La Parole non maîtrisée

Maîtrise ta parole, car elle est très dangereuse ; la parole non maîtrisée peut provoquer une terrible souffrance.
Une seule parole malveillante peut détruire beaucoup de bien. Une blessure par le feu finit par guérir ; mais une blessure par la parole laisse une cicatrice qui ne guérit jamais.
VALLUVAR - poète et philosophe tamoul
[transmis par Claire Bouchet]
Sculpture : Igor MITORAJ



 

La rançon


Je ne sais pas si c'est juste d'honorer à posteriori les 8 Millions de chevaux morts pendant la Première Guerre Mondiale . On préférerait leur avoir épargné d'avoir à s'en mêler ! Mais je dois dire que ces soldats américains  leur ont rendu un bel hommage . Il fallait y penser .
Posté par Créapills
Transmis par Catherine P.

dimanche 1 juillet 2018

Le Dalaï Lama à Strasbourg : Think Think Think

Dalaï-lama : « Le monde irait peut-être mieux sans religion »

Entretien exclusif avec le maître spirituel tibétain lors de son passage à Strasbourg. Avec toujours la même obsession : comment faire pour ne pas sombrer dans la violence?
Pour une fois, les pressions du consul chinois n’ont eu aucun effet. À Strasbourg, le dalaï-lama a été reçu à bras ouverts tant par l’hôtel de ville que par les instances européennes. Point d’orgue de son séjour dans la capitale alsacienne, un week-end à décrypter, devant un public de 8 000 passionnés rassemblés au Zénith, une œuvre philosophique ardue datant du IIe siècle. C’est là qu’il nous a reçus dans un petit salon sans fenêtre niché dans les étages du vaste bâtiment. Entre un déjeuner ingurgité en vitesse et une rencontre intense, front contre front, avec un enfant malade amené dans un fauteuil à roulettes, il a répondu à nos questions, même les plus délicates, avant de remonter sur scène et de reprendre le fil de ses explications métaphysiques. 
Dès que l’on évoque la tragédie béante du Tibet, et spécialement la vague récente d’immolations, la lueur malicieuse qui danse habituellement dans les yeux du dalaï-lama s’évanouit d’un coup. Depuis 2009, 145 Tibétains se sont transformés en torches vivantes pour protester contre Pékin, persuadés que leur sacrifice respectait l’injonction de non-violence de leur leader spirituel.

L’impasse des immolations

« Cette question est extrêmement difficile pour moi, soupire-t-il. Le suicide, pour les bouddhistes, est un acte violent. Je ne peux l’accepter. Mais si j’exprimais mon désaccord, les familles déjà blessées par la perte d’un des leurs seraient profondément attristées… Que faire ? Il n’y a pas d’issue. Je ne peux que me taire. »Même sur un plan purement politique, il ne voit qu’une impasse : « Quel est le bénéfice de ces actes ? À part l’effet de publicité, est-ce que cela change ce que pensent les “durs” du pouvoir ? J’en doute… »
Si la haine répond à la haine, la haine ne cessera jamais
L’impatience de la jeunesse tibétaine, qui supporte de moins en moins le joug chinois, représente un autre dilemme : « Un responsable venu de Lhassa m’a jadis expliqué que les personnes âgées étaient assez contentes de leur sort, mais que les jeunes étaient très insatisfaits. Il m’a assuré que tant que je suis en vie, il n’y a pas de risque de violence. Mais après ? Ma réponse alors et maintenant est la même : le principe de non-violence doit être respecté, que je sois en vie ou non. J’espère que les Tibétains se souviendront que ce principe fait partie de leur culture. »
Le dalaï-lama refuse en bloc l’idée que la violence soit parfois nécessaire, ou utile. « Rien de bon ne peut jamais sortir de la violence », martèle-t-il, rappelant la célèbre phrase du Bouddha : « Si la haine répond à la haine, la haine ne cessera jamais. »

Goût du cocasse

Que faire alors face à un pouvoir, comme celui de Pékin, prêt à tout pour assurer sa perpétuation ?
« Il faut d’abord se rappeler que la Chine appartient au peuple chinois, pas au Parti communiste. Le peuple sera toujours là. Peut-on en dire autant du Parti, d’ici dix, vingt ou trente ans ? Notre choix, c’est de maintenir des liens avec les Chinois qui soutiennent notre cause, et heureusement, il y en a de plus en plus. »
Il a beau être le guide spirituel de millions en disciples, le prix Nobel de la paix n’hésite pas à déployer un humour et des pitreries dignes d’un écolier. Sa dernière facétie consiste à se couvrir la tête d’une serviette humide, histoire de rafraîchir son crâne – et bien sûr de déclencher l’hilarité générale. Entre le danger de se prendre trop au sérieux et celui d’être pris pour un clown, il a clairement fait son choix.
Mais ce goût du cocasse ne l’empêche pas d’affirmer avec force ses convictions. Il juge notre monde trop imprégné de valeurs « extérieures » – réussite sociale, argent, pouvoir, confort, etc. – et au contraire dénué de valeurs « intérieures » – sens du dialogue et du pardon, altruisme, optimisme et surtout compassion.C’est, dit-il, cette culture « matérialiste » qui donne naissance aux comportements égoïstes et génère les conflits de notre temps. Quant aux valeurs altruistes, il ne faut pas les prendre pour des vœux pieux : « La science a prouvé qu’elles correspondent à la nature profonde de l’espèce humaine. »

« Plutôt marxiste »

Une autre erreur serait de les cantonner au domaine de la foi. Il est convaincu qu’il s’agit en réalité d’une éthique universelle, transcendant les religions et les cultures. Pour éviter de répéter les tragédies du XXe siècle, il préconise que ces valeurs soient enseignées parallèlement aux sciences dans toutes les écoles du monde, et prises au sérieux jusqu’au sommet des États.
Le 14e dalaï-lama a décidé de montrer l’exemple. En 2011, il a renoncé à toutes ses fonctions politiques. Ce sont désormais des dirigeants élus qui président aux destinées des Tibétains exilés. « La démocratie est le meilleur système politique, le seul qui permette en réalité l’épanouissement de cette éthique universelle. Même si, en matière d’économie, je suis plutôt marxiste », ajoute-t-il en éclatant de rire.
« Quant à l’institution des dalaï-lamas née il y a quatre siècles, je l’ai abolie totalement et dans la joie, raconte-t-il non sans un brin de fierté. Ce système qui mélangeait le spirituel et le temporel, c’était du féodalisme. C’est fini. Mon successeur, s’il y en a un, n’aura aucun pouvoir politique. »

 Science de l’esprit

Pour le célèbre moine bouddhiste français Matthieu Ricard, le leader tibétain est au fond une sorte de révolutionnaire qui n’hésite plus à détruire les vieilleries caduques, pour ne garder que les conceptions et les méthodes capables de nous aider aujourd’hui.
« Bien qu’il soit un véritable maître bouddhiste, la religion et la culture tibétaines ne sont pas, en elles-mêmes, ce qui compte le plus à ses yeux.  Si le bouddhisme tibétain est précieux, c’est avant tout parce qu’il se trouve être l’héritier d’une véritable science de l’esprit développée dans l’antiquité par une grande école philosophique indienne, l’école Nalanda. »
Cette « science de l’esprit » qui décrit notre fonctionnement mental et émotionnel passionne aussi neurobiologistes et psychologues, qui ont entamé un dialogue insolite avec les érudits tibétains.

À Strasbourg, le dalaï-lama a assisté à un symposium à l’université sur les recherches qui étudient l’effet de différentes méthodes de méditation sur la santé physique et mentale. Le dalaï-lama résume : « Le bouddhisme tibétain apparaît comme un pont entre la science et la spiritualité et permet d’imaginer des méthodes pour réformer les relations entre humains. »
« Think, think, think » (« réfléchissez, réfléchissez, réfléchissez »), ne cesse de répéter, un doigt sur la tempe, le dalaï-lama.
« La prière, les rituels, la ferveur vis-à-vis d’un maître spirituel, c’est bien, mais ce n’est pas cela qui va apporter le changement intime dont parle le bouddhisme, ni aider à changer le monde. La foi aveugle, y compris envers les textes les plus sacrés du bouddhisme, c’est de la stupidité. »
Laissons donc cela, suggère-t-il, aux personnes qui n’ont pas eu la possibilité de développer leur intelligence. Ceux qui, au contraire, disposent de cet « instrument splendide », le cerveau humain, doivent s’en servir d’urgence pour avancer sur le chemin de la connaissance rationnelle.
« Un milliard de prosternations ne valent pas une seule journée d’étude sérieuse. »

Amour et compassion

Volontiers iconoclaste vis-à-vis du bouddhisme, le dalaï-lama ne ménage pas non plus ses critiques à l’égard de toute pratique religieuse qui s’est éloignée de l’« essence », à savoir l’amour et la compassion. « Quand je vois comment certains leaders religieux, y compris bouddhistes, défendent leur foi, je me demande parfois si le monde n’irait pas mieux sans religion du tout », s’exclame-t-il avec ce célèbre rire qui résonne dans la petite pièce.
Quant à l’islam, il refuse tout net d’en faire un cas particulier : « Les actes de musulmans dévoyés ne prouvent rien quant à la nature de l’islam. Sinon, il faudrait dire que le bouddhisme est une religion de haine à cause de quelques moines extrémistes en Birmanie. L’existence de versets autorisant la violence dans le Coran ne prouve rien non plus. On trouve le même type de phénomène dans toutes les doctrines. Nous, bouddhistes, avons bien les fameuses “divinités courroucées” qui tuent au nom du “dharma” ! Tout ça, au fond, n’a rien à voir avec l’essence de la religion. C’est une question d’éducation, de compréhension intellectuelle, de dialogue. »
Bref, d’ouverture d’esprit. « Think, think, think ! »

Effet immédiat


Depuis mon adolescence je savais que j'allais savoir 
A 15 ans je voyais à peu près ce qui allait m'arriver 
La participation qui m'était demandée 
Mission certaine : je devais apprendre à aimer.
J'en fis ma destinée 
La vie m'a présenté absolument tout ce dont j'avais besoin pour devenir qui il fallait que je devienne 
j'ai souffert beaucoup, mais par la force des choses comme chacun j'ai appris 
 j'ai pleuré des nuits et des nuits, j'ai lu, je me suis battue et me suis  bien défendue .... 
Je pensais y être arrivé
Au point que j'ai même enseigné 
Puis expérimenté sur les routes du monde , appliqué 
Sao Paulo, Lhassa,  Papeete, Bombay 
Aimer est très facile lorsque l'on ne fait que passer 
En passant  j'ai aimé, aimé, aimé 
Et fini par penser le travail achevé..... 
Baignée que j'étais  dans ces moments bénis 
Qui n'étaient faits que d'harmonie 
Alors je me suis dit que je pouvais me rapprocher des miens 
Réparer , renforcer ces premiers liens  
Et c'est seulement là quand je suis sortie du faire
quand je n'ai plus eu qu'à laisser la vie 
me traverser à sa guise que j'ai vu 
que s'il m'était aisé d'aimer, parfois 
ça dépendait de qui et de l'endroit
Connemara : Ok. Bretagne plus compliqué  
Enfance blessée prête à se rebeller 
Sensiblerie , susceptibilité des deux côtés 
Différence de génération source d'exaspération 
Je lévite moins fréquemment 
Mon regard peut juger l'apparences
Ma réplique  manquer d'indulgence  
L'ardeur  du coeur deviendrait -elle  rance ?  
J'en perds mon divin ! 
Un coeur est si profond  que ces remous font de la boue  
j'ai donc remis mes bottes de grutier 
Retour à la case du guerrier 
Regarder les choses de plus haut 
Et remiser mes gros sabots 
Je ne lâcherai pas l'affaire 
Ici, j'ai de quoi me parfaire 
Ce n'est pas le tout de savoir 
Il faut encore pouvoir le voir ! 
                                          Simone de son Panthéon ranime ma détermination
                                            De damner le pion à ce plexus solaire
                                           le plus souvent peureux ou en colère
Afin que l'Ame reprenne sa juste place au poste des affaires  familiales de ce tout petit unis - vers





Merci Madame

Quand les larmes contenues`
Se font pour tant d'autres
Eclats de vie
Force généreuse
Perles de lumière !
JLavoué 

Grande Dame au Panthéon




"Il est essentiel de prendre soin de ce ciel en nous, invisible aux autres, de ce sanctuaire que la vie nous a édifié et que peuplent les messagers, ceux qui, de façon multiple, nous ont inspirés, conduits vers le meilleur de nous-mêmes. Dans tous les lieux habités par la souffrance se trouvent aussi les gués, les seuils de passage, les intenses noeuds de mystère. Ces zones tant redoutées recèlent pourtant le secret de notre être au monde, ou comme l'exprime la pensée mythologique : là où se tiennent tapis les dragons sont dissimulés les trésors.
L'espoir ne doit plus être tourné vers l'avenir mais vers l'invisible. Seul celui qui se penche vers son coeur comme vers un puits profond retrouve la trace perdue". Christiane Singer