vendredi 13 mars 2015

La beauté

 

"Never lose an opportunity of seeing anything beautiful,
for beauty is God's handwriting."

Ralph Waldo Emerson (1803 - 1882)
American essayist and poet

Ne perdez pas une occasion de voir en tout la beauté 
car la beauté  est la signature de Dieu.

jeudi 12 mars 2015

Lila exposée à Lorient

                               Une photo de Eric Courtet  prise à Port-Louis l'été dernier . Lila à 4 ans-
                    exposée en ce moment à la galerie Keroman , 9 Avenue de la Perrière 56100 Lorient 




A s'y méprendre

Un second l'Ann Moor du côté de Dingle .

mardi 10 mars 2015

Réflexion




"People are like stained-glass windows. They sparkle and shine
when the sun is out, but when the darkness sets in, their true beauty is revealed
only if there is a light from within."

Elisabeth Kubler-Ross (1926 - 2004)
Psychologist

Les gens sont comme les vitraux. Ils étincellent et brillent quand le soleil est là mais quand le noir s'installe leur beauté n'est révélée que si il y a de la lumière à l'intérieur.

lundi 9 mars 2015

Mes génies de petits-fils au studio d'enregistrement ...


Némo fait une voix

loïs et Némo , les cousins pleins de talents

I just adore them

Enregistrement de « Non mais » : the dream team !


Posted by Marine Bercot Category: News

Rendez-vous au studio Melodium à 10h : Toma Milteau (my very dear friend) est déjà là, Nicolas et son stagiaire Antony s’activent pour préparer la prise de batterie. Ben oui parce qu’aujourd’hui, on enregistre une nouvelle chanson : « Non Mais » ou « Bernadette »,  à voir…  Je suis très fan de ce morceau j’ai hâte de l’entendre fini, arrangé, décoré, « bercotisé » (dixit Nico Dufournet) !

Nemo (mon talentueux neveu acteur-chanteur-danseur et puis quoi encore) et Loïs (mon non moins talentueux fils, percussionniste et beatmaker) nous rejoignent avec croissants et pains au chocolat. Ca commence  tranquillement avec un café pour messieurs, un thé vert pour madame (ah ben oui, tiens, je suis la seule fille today !). J’adore enregistrer, j’aime le studio en général et ce studio en particulier. Il a quelque chose de roots, de simple et de ravi qui me va tout à fait

Tout est beau

 
  
"Everything has beauty, but not everyone sees it."
Tout est beau mais ce n'est pas tout le monde qui peut le voir ! 

Confucius (551 - 479 BC)
Chinese Teacher and Philosopher

Fanad, C°Donegal, Ireland

Spectacular seas at Fanad Head...
Image from Paddy O'Hagan
feeling awesome at Fanad Head.
posted by " my Sassou d'Amour "

dimanche 8 mars 2015

L'Histoire n'est pas toujours ennuyeuse

      LE SAVIEZ-VOUS ?  
  La prochaine fois que vous vous laverez les mains et que vous trouverez la température de l'eau pas vraiment agréable, ayez une pensée émue pour nos ancêtres...   
Voici quelques faits des années 1500:
  

 La plupart des gens se mariaient en juin, parce qu'ils prenaient leur bain annuel en mai et se trouvaient donc encore dans un état de fraîcheur "raisonnable" en juin. Mais évidemment, à cette époque, on commençait déjà à puer légèrement et c'est pourquoi la mariée tentait de masquer un tant soit peu son odeur corporelle en portant un bouquet. C'est à cette époque qu'est née la coutume du bouquet de la mariée. 
   
   Pour se baigner, on utilisait une grande cuve remplie d'eau très chaude. Le Maître de maison jouissait du privilège d'étrenner l'eau propre ; suivaient les fils et les autres hommes faisant partie de la domesticité puis les femmes et enfin les enfants...
 Les bébés fermaient la marche. À ce stade, l'eau était devenue si sale qu'il aurait été aisé d'y perdre quelqu'un... D'où l'expression « Jeter le bébé avec l'eau du bain » ! 
 
       En ces temps-là, les maisons avaient des toits en paille, parfois même la maison n'était qu'un toit.
C'était le seul endroit où les animaux pouvaient se tenir au chaud. C'est donc là que vivaient les chats et les petits animaux (souris et autres bestioles nuisibles), dans le toit. Lorsqu'il pleuvait, celui-ci devenait glissant et il arrivait que les animaux glissent hors de la paille et tombent du toit.
D'où l'expression anglaise " It's raining cats and dogs " ("Il pleut des chats et des chiens").
 


  Pour la même raison, aucun obstacle n'empêchait les objets ou les bestioles de tomber dans la maison.
 C'était un vrai problème dans les chambres à coucher où les bestioles et déjections de toute sorte s'entendaient à gâter la literie. C'est pourquoi on finit par munir les lits de grands piliers afin de tendre par-dessus une toile qui offrait un semblant de protection.
Ainsi est né l'usage du ciel de lit ; bien évidemment, les plus pauvres devaient s'en passer... 

 
 À cette époque, on cuisinait dans un grand chaudron perpétuellement suspendu au-dessus du feu. Chaque jour, on allumait celui-ci, et l'on ajoutait des ingrédients au contenu du chaudron.
On mangeait le plus souvent des légumes, et peu de viande.  On mangeait ce pot-au-feu le soir et laissait les restes dans le chaudron. Celui-ci se refroidissait pendant la nuit et le cycle recommençait le lendemain. De la sorte, certains ingrédients restaient un bon bout de temps dans le chaudron... Les plus fortunés pouvaient s'offrir des assiettes en étain. Mais les aliments à haut taux d'acidité avaient pour effet de faire migrer des particules de plomb dans la nourriture, ce qui menait souvent à un empoisonnement par le plomb (saturnisme) et il n'était pas rare qu'on en meure. C'était surtout fréquent avec les tomates ce qui explique que celles-ci aient été considérées pendant près de 400 ans comme toxiques.

 
  Le pain était divisé selon le statut social.
 Les ouvriers en recevaient le fond carbonisé, la famille mangeait la mie et les hôtes recevaient la croûte supérieure, bien croquante.

  
 Pour boire la bière ou le whisky, on utilisait des gobelets en plomb.
Cette combinaison mettait fréquemment les buveurs dans le coma pour plusieurs jours !
   
 Et quand un ivrogne était trouvé dans la rue, il n'était pas rare qu'on entreprenne de lui faire sa toilette funèbre.
Il restait ainsi plusieurs jours sur la table de la cuisine, où la famille s'assemblait pour boire un coup en attendant que l'olibrius revienne à la conscience : d'où l'habitude de la veillée mortuaire.
 La Grande-Bretagne est en fait petite et à cette époque, la population ne trouvait plus de places pour enterrer ses morts ;du coup, on déterra des cercueils et on les vida de leurs ossements qui furent stockés dans des bâtiments ad hoc afin de pouvoir réutiliser
 Mais lorsqu'on entreprit de rouvrir ces cercueils, on s'aperçut que 4 % d'entre eux portaient des traces de griffures dans le fond,ce qui signifiait qu'on avait enterré là quelqu'un de vivant.

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 Dès lors, on prit l'habitude d'enrouler une cordelette au poignet du défunt reliée à une clochette à la surface du cimetière ; et l'on posta quelqu'un toute la nuit dans les cimetières avec mission de prêter l'oreille et c'est ainsi que naquit là l'expression  « sauvé par la clochette ».
 C'est une grenouille en marbre sculptée sur un bénitier à l'entrée de la cathédrale de Narbonne qui est à l'origine de l'expression imagée ‘’grenouille de bénitier’’.


jeudi 5 mars 2015

Ma mère a eu 95 ans aujourd'hui ( 5 mars 2015 )


Change




"Is any man afraid of change? What can take place without change?
What then is more pleasing, or more suitable to the universal nature?
Can you take a hot bath unless the wood for the fire undergoes a change?
Can you be nourished unless the food undergoes a change?
Can anything else that is useful be accomplished without change?"

Marcus Aurelius (121 - 189)
Roman Emperor

Y-a-t-il un homme qui ait peur du changement? Sans le changement qu'est-ce qui pourrait survenir ? 
Qu'est ce qui pourrait être plus agréable et plus adapté à la nature universelle  ? 
Pouvez -vous prendre un bain chaud à moins  que le bois n'ait subi un changement ?
Pouvez-vous vous nourrir à moins que le nourriture n'ait été transformée ?
Y-a-t-il une seule chose  utile qui puisse être accompli sans le changement ?

PL des Poissons

Voici le texte de réflexion sur l'Energie
de la Constellation des Poissons                  
Pleine Lune le jeudi 05 mars 2015 à 19 h 07
Note-clé du signe : Je quitte la maison du Père et en revenant je sauve
Energie de l'amour-sagesse

Constellation Des Poissons 2015

 L'entrée du Soleil dans le signe des Poissons marque la fin du cycle annuel des constellations. Deux poissons se poursuivant l’un l'autre sont à l'image du va-et-vient entre conscience et matière, activités profanes et spirituelles, plaisirs mondains et transcendance, esprit et personnalité.

 Dans cette période est offerte l'opportunité de mieux approfondir notre connaissance de la dualité.
L'étudiant avisé va s'employer à équilibrer ces tendances opposées. Un chercheur patient et persévérant ne pourra évoluer durant les années solaires successives sans dissoudre es dualités détenues, avec l'aide des énergies de ce signe, considérées comme les forces de synthèse.

 Il ne niera ni la matière, ni l'esprit, car le fait de transcender est plus grand et noble que celui de nier. Du déni résulterait inévitablement l'opposition, la rivalité et le ressentiment, alors que la sagesse consiste, par une coexistence pacifique, à gagner l'amitié et les cœurs des êtres.

 Il devrait être enseigné aux enfants qu'il y a une part subtile dans l'humain, ce qu'est la force e vie et comment elle agit, ce qu'est la conscience et comment le cerveau est capable de fonctionner. Parce qu'ensemble, la conscience et la vie dirigent tout le programme des êtres.

 On dit à l'école primaire que l'unité fait la force. Enfants, on nous a vanté les avantages de la coopération. Cependant aujourd'hui, un nombre encore insuffisant de personnes vivent et travaillent à une harmonie sur les plans de la pensée ou de la matière. Quand le monde est en crise profonde, insensés sont ceux qui sollicitent ou militent pour leur propre profit. Ceux qui de par le monde, aspirent au bien général, leurs intentions protègent l'humanité. Penser et rechercher l’épanouissement et le bien-être de l'autre est un processus permettant de se défaire de l'égocentrisme. Toutefois, nous nous sentons souvent seuls, bien qu'évoluant ensemble. Et lorsque l'étudiant commence à voir l'Un dans chaque être, lentement il réalise que l’Un seul existe en tant que multiple. Alors sa relation aux êtres tend à être dans l’équanimité.

 Dans cette perspective, les différences d'attitudes aux autres n’existent pas. Il y a cettevolonté de mettre enfin un terme à la nécessité sociale de se composer un personnage selon les interlocuteurs en présence. Il ne divise pas les êtres en bons et mauvais, ces divisions n’existent ue dans le mental des personnes. Le mental divise, le cœur synthétise. Cette synthèse permet la libération des capacités correspondantes.

 Le plus frappant est sans doute de songer que ceci peut passer, dans l’Occident moderne, pour un dysfonctionnement, une conduite plus ou moins pathologique, un refus des normes et du modèle relationnel humain dominant. Pourtant cela ressemble à ce qui fut recherché, valorisé, porté aux nues par les sagesses de l’Orient antique. Devenir neutre, imperceptible, transparent ne sont pas des déficiences ou des manques. Au contraire, comme l’attestent d’innombrables textes orientaux, se rendre impersonnel équivaut à devenir sage.

 Être fade est ce qu’on fait de mieux. Se désindividualiser, se désubjectiviser ne sont pas des atés, mais des réussites. Parce que la consigne n’est pas d’être soi, mais de cesser de l’être. L’idéal n’est pas de trouver son individualité, mais de la perdre.

 Par cette impersonnalité créatrice, il nous sera alors aisé de savoir où diriger nos pensées de groupes dans le monde, sur quels thèmes ou sur quelles questions. Et de cultiver cette énergie puissante du sourire face aux défis spirituels de notre temps.
Le Sentier . 
PL:  jeudi 5 Mars 2015 - 19h07

lundi 2 mars 2015

La prière vue par Bobin

[...] Et c'est quoi au juste, prier.
C'est faire silence.
C'est s'éloigner de soi dans le silence.
Peut-être est-ce impossible.
Peut être ne savons-nous pas prier comme il faut : toujours trop de bruit à nos lèvres, toujours trop de choses dans nos coeurs.
Dans les églises, personne ne prie sauf les bougies.
Elles perdent tout leur sang.
Elles dépensent toute leur mèche.
Elles ne gardent rien pour elles, elles donnent ce qu'elles sont et ce don passe en lumière.
La plus belle image de prière la plus claire image des lectures, oui ce serait celle-là :
l'usure lente d'une bougie dans l'église froide.
Merci Martine . 

S'accrocher

 
Once there was a free bird. She floated in the sky, catching midges for lunch, swam in the summer rain trickles, and was like many other birds. 
Il était une fois un oiseau libre . Il volait dans le ciel, attrapait des insectes pour le déjeuner, nageait dans les ondées des pluies d'été, vivait comme beaucoup d'autres oiseaux

However, she developed a habit: every time some event occurred in her life, whether good or bad, the bird picked up a stone from the ground to keep the memory. Every day she sorted out her stones, laughed remembering joyful events, and cried remembering the sad ones. The bird always took the stones with her, whether she was flying in the sky or walking on the earth, she never forgot about them. As the years passed, the free bird continued to accumulate stones, and still kept on sorting them, remembering the past. 
Toutefois il développa une habitude : à chaque fois qu'un évènement survenait dans sa vie , qu'il soit bon ou mauvais , il ramassait une pierre pour le garder en mémoire . Chaque jour il triait ses cailloux , riant des bons souvenirs, pleurant sur les mauvais . L'oiseau gardait toujours ses pierres sur lui , qu'il vole dans les cieux ou marche sur la terre, il ne les oubliait jamais.  Les années passant il continua d'accumuler les pierres et continua à les trier en se remémorant le passé.

As she was weighed down with stones life became more and more difficult until one day the bird was no longer able to fly. Soon thereafter, the bird could no longer walk. She could not catch midges anymore and only the rain gave her the necessary moisture. Still, the bird bravely endured all these hardships, guarding her precious memories, along with the memory that she had once been free to move about as she pleased.  
Alourdie par le poids des pierres la vie devint pour lui de plus en plus difficile au point qu'un jour l'oiseau ne put plus voler . Peu de temps après il ne put plus marcher. Bientôt il ne parvint plus à attraper les insectes et seule l'eau de pluie lui donnait encore le liquide nécessaire. Pourtant l'oiseau endurait toutes ces difficultés gardant ses précieux souvenirs et surtout celui du temps où il avait été libre de se mouvoir comme il voulait.

After some time the bird died in misery of the starvation and thirst. The bunch of worthless stones remained.  
Au bout de quelques temps l'oiseau mourut misérablement de faim et de soif . Ne resta que 
le paquet d'inutiles souvenirs.

samedi 28 février 2015

Mes petites filles jolies parties

 Lila à l'originalité puissante
 Maria à  l'intelligence vive
Toutes deux :  sages comme des images et appliquées

Ma mère à l'hôpital

Evidemment les tuyeaux dans le nez amenuisent son élégance habituelle mais grâce à l'oxygène elle se sort de cette forte bronchite qui eût pu la terrasser à quelques heures de ses 95 ans !