Ma nuit hurle et déchire ses voiles, ma nuit se cogne à son propre silence, mais ton corps reste introuvable.
Le jour va bientôt se lever.
Lettre de Frida KAHLO à Diego Rivera - extrait
Tableau : Thomas MORAN. Transmis encore par Maela
Ce texte est beau certes mais tu vois tu ne me manques pas ; sans doute Diégo était- il encore vivant quand elle a écrit ça . Toi tu vis aussi mais sur un autre plan et mes nuits ne hurlent pas car elles gardent l'empreinte de tes mains en silence et ton corps est encore assez présent contre le mien pour ne pas être introuvable . Imprimé qu'il est en moi . Je le retrouve à volonté . Comment me manquerais-tu quand tu es tellement là ? Le jour va bientôt se lever et Nouky ce sera un autre jour près de Toi . Merci Michel pour tout ça .
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