Tu es au sommet de chaque instant qui passe
Tu es chaque vague et son éphémère trace
Tu es comme l'aubier entre l'arbre et l'écorce
La sève qui enivre et donne des forces
Tu es le souffle qui sommeille au creux de l'éventail
L'ombre irisée de vert au bas du portail
Sur l'instrument sans corde où le silence glisse
Sur le vide du cercle où s’engloutit l'hélice
Sur la feuille où j'écris sur la porte au dehors...
Lena VAN HOORICK
[transmis par Laurent Dumont : merci]
Tu es chaque vague et son éphémère trace
Tu es comme l'aubier entre l'arbre et l'écorce
La sève qui enivre et donne des forces
Tu es le souffle qui sommeille au creux de l'éventail
L'ombre irisée de vert au bas du portail
Sur l'instrument sans corde où le silence glisse
Sur le vide du cercle où s’engloutit l'hélice
Sur la feuille où j'écris sur la porte au dehors...
Lena VAN HOORICK
[transmis par Laurent Dumont : merci]
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