Ma mère faiblit de jour en jour car elle ne s'alimente plus . Mais elle apprécie encore son "sip" de rosé dans la soirée. Ma cousine Marie est venue la voir et m'écrit ceci :
Elle m'a demandée si tu revenais cette semaine. Elle m'a dit "je vais l'attendre alors parce-que je suis presque prête de partir mais pas très pressée".
Elle me disait avoir mal dans tout le corps et qu'elle se sentait fatiguée.
Elle m'a remerciée d'être venue, de lui avoir donné le repas, de la caresser.
J'ai pu lui dire combien je l'aimais, la remercier pour toutes ses cartes que j'ai gardées précieusement, la beauté de son écriture, la richesse de son vocabulaire, sa gentillesse et sa douceur envers moi, ses mots tendres et aimants d'une mère bis.
J'ai pu lui dire combien je l'aimais, la remercier pour toutes ses cartes que j'ai gardées précieusement, la beauté de son écriture, la richesse de son vocabulaire, sa gentillesse et sa douceur envers moi, ses mots tendres et aimants d'une mère bis.
Puisse-t-elle m'attendre en effet.
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