jeudi 28 décembre 2017

Le bonheur au milieu du combat

L’essence du bouddhisme n’est pas, en un sens, de rechercher une existence placide semblable à celle d’une marre tranquille, mais d’établir un imposant état de bonheur, que même les mers les plus houleuses ne parviennent pas à submerger.
Bien que nous puissions souhaiter un bonheur simple où rien de fâcheux n’arrive jamais, il est impossible d’éviter d’être ballottés par les vents et les vagues de la vie lorsque mugissent les tempêtes.
En effet, ce n’est qu’en faisant surgir notre force inhérente pour tracer courageusement notre chemin à traverser courageusement le maelström de l’obscurité fondamentale et du karma que nous pouvons vraiment assurer un bonheur véritable.
De ce point de vue, le bonheur ne se trouve qu’au milieu du combat.
Daisaku Ikeda
Peinture : Steven Daluz    -   Posté par Maela 
J

2 commentaires:

Tarteen a dit…

Bonne compréhension intellectuelle de ce texte. Cependant, n'étant pas masochiste, je suis sceptique. Que le courage se trouve au milieu du combat, OK, mais le bonheur ? C'est à voir... ou plutôt, non, ce ne serait pas à voir, justement.

Granny on the road again a dit…

Peut être que le bonheur se niche dans ce courage qui sait que tout, absolument tout peut être expérimenté en paix