Il y a des épreuves qui sont communes à l’humain : lever et soutenir son regard au visage de l’autre, se redresser et tenter la marche, passer des gloussements et borborygmes à la parole, apprendre à écrire, rencontrer son premier partenaire, s’affranchir des liens, s’exercer à l’attachement et au détachement, découvrir l’amour et la séparation, approcher la vieillesse et la mort…
Si chacun a une histoire personnelle, singulière, cette histoire elle-même s’inscrit dans cet ordre commun par-delà la diversité des situations.
Dire que ce sont des « épreuves humaines », c’est référer à cet ordre dont le fond est celui de l’humain et oser un espace de partage : « ce que tu vis, à notre manière, nous le connaissons, nous sommes aussi passés par là, nous en connaissons la difficulté… ».
C’est aussi ce qui permet de soutenir que le passage aura lieu : cela ne fait guère de doute, même si on ne sait ni quand, ni comment, ni où, ni avec qui…
A travers elles, l’espèce humaine se retrouve et se soutient : le passage se fera, en son temps…
Si chacun a une histoire personnelle, singulière, cette histoire elle-même s’inscrit dans cet ordre commun par-delà la diversité des situations.
Dire que ce sont des « épreuves humaines », c’est référer à cet ordre dont le fond est celui de l’humain et oser un espace de partage : « ce que tu vis, à notre manière, nous le connaissons, nous sommes aussi passés par là, nous en connaissons la difficulté… ».
C’est aussi ce qui permet de soutenir que le passage aura lieu : cela ne fait guère de doute, même si on ne sait ni quand, ni comment, ni où, ni avec qui…
A travers elles, l’espèce humaine se retrouve et se soutient : le passage se fera, en son temps…
(si l'auteur se reconnait : merci)
Transmis par Maela
Photo : Régis Fève
Photo : Régis Fève
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