Je glisse un mot d'amour sous la porte du monde avec la fureur furtive du rêveur. L'exigence invisible de la paix.
Il se peut que jamais personne n'ouvre cette porte. Mais j'aurai donné un peu de mon temps.
Et nous aurons donné un peu de la lumière de nos vies. Pour restreindre l'obscurité. La pierre enrichie de la violence.
Avec l'espoir peut-être qu'un jour.
Qu'un nouveau monde reste à naître...
Patrick Chemin - Écrits dans l'arbre. Éditions Épingle à nourrice 2013
[transmis par Jacques Viallebesset : merci]
Tableau : Joël CUNIN
posté par Maela aussi
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire