On ne console pas pour que l’affligé « regarde ailleurs » car ce serait ajouter de la violence du déni à celle de la perte.
On console pour lui donner les moyens de regarder autrement ce qui l’afflige, de telle sorte que la désolation du présent ne sature pas le champ des possibles
.On console pour lui donner les moyens de regarder autrement ce qui l’afflige, de telle sorte que la désolation du présent ne sature pas le champ des possibles
Michaël FOESSEL - Le Temps de la Consolation (Le Seuil, 2015) p.25
posté par Maela
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