Nous faudrait-il
Un horizon plus vaste
Une aube sur la mer
Une forêt en marche
Des chants revenus du désert
Un horizon plus vaste
Une aube sur la mer
Une forêt en marche
Des chants revenus du désert
Des bras complices de l'absence
Des yeux nourris d'un soleil étranger
Une souffrance logée en soi
A l'affût des falaises
Une claire vision de la prochaine guerre
Dont nous serions sauvés
Un continent à la dérive
Étreignant ses naufragés
Des yeux nourris d'un soleil étranger
Une souffrance logée en soi
A l'affût des falaises
Une claire vision de la prochaine guerre
Dont nous serions sauvés
Un continent à la dérive
Étreignant ses naufragés
Un passant dont les mains
Sculpteraient la lumière
Un nom dont les silences
Ferait parler les pierres
Une parole de chair
Visitant notre chair
Un cœur ouvrant son cœur
Son jour à la misère
Des lèvres et des genoux
Pour embrasser la terre
Sculpteraient la lumière
Un nom dont les silences
Ferait parler les pierres
Une parole de chair
Visitant notre chair
Un cœur ouvrant son cœur
Son jour à la misère
Des lèvres et des genoux
Pour embrasser la terre
Des entrailles de mère
Des tendresses de père
Des audaces de sœurs
Des épaules de frères
Pour hériter ensemble
D'un monde de vivants ?
Jean LAVOUE
Œuvre : Georges SOUCHE
Des tendresses de père
Des audaces de sœurs
Des épaules de frères
Pour hériter ensemble
D'un monde de vivants ?
Jean LAVOUE
Œuvre : Georges SOUCHE
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