samedi 31 décembre 2016
31 dec dans l'Oise
La magie s'installe chez Gisèle
Pour fêter l'année nouvelle
Givrée toute nature est belle
Même la mienne !
vendredi 30 décembre 2016
Petite Filles en vue
Il était minuit donc c'est bien aujourd'hui que sont arrivées de Paris pour 2 jours de Bretagne mes plus jeunes petites filles
Doon Hill - Ballyconneely
Doon Hill , notre "Mont Analogue". Nous y montions Michel et moi quand il faisait beau les 1er janvier et là-haut nous faisions point et projets ...
Une photo de
Marie O'Neill-Devine
Une photo de
Consoler
Consoler, c’est œuvrer pour que l’autre reprenne le pouvoir
sur le pouvoir de sa souffrance...
Cynthia Fleury-Perkins
Tableau : Ferdinand HOLDER
sur le pouvoir de sa souffrance...
Cynthia Fleury-Perkins
Tableau : Ferdinand HOLDER
Transmis par Maela
Les voeux de l'IPS de Genève
Best wishes for 2017 - Meilleurs voeux pour 2017
Beyond shameful words of hatred, beyond evil mutual destruction—the word of Bliss, which is close to every human heart, spreads widely like the mighty branches of the sacred banyon tree.
Au-delà des paroles honteuses de la haine, au-delà de la destruction malfaisante partagée - la parole du bonheur suprême, proche de tout coeur humain, se propage largement comme les branches vigoureuses du banian sacré.
Himavat Diary Leaves, pages 87-89, Nicholas Roerich
Future Awards
@On n'oublie pas les melty Future Awards 🤞
Dans la catégorie "Coming Soon", un vote par jour si vous voulez ! Merci pour Némo ;☺️
➡️ http://www.melty.fr/
jeudi 29 décembre 2016
Le chagrin
Un texte de Martine Feve
"Quand un rêve s'accomplit, la gratitude absorbe lentement le chagrin comme une pastille douce amère. A la fin, ils ne font plus qu'un, gardant chacun leur intensité particulière, sans la douleur du combat. Cependant, un loup reste un loup, qu'il soit apprivoisé ou non, et le chagrin une bête sauvage qu'il faut sans cesse surveiller. Il ne sert à rien de vouloir le dompter. Simplement le respecter dans sa différence, sa vibration parallèle qui soudain nous atteint, et le laisser tranquille quand il hurle, en l'observant de loin. S'il nous entraîne avec lui sous la lune, dans une futaie impénétrable, un ravin, le sommet d'une colline, devenir sa chair et son esprit. Alors, le chagrin saura qu'il n'est pas son propre ennemi.La gratitude pansera sa plaie, herbe des prairies, douceur du rêve accompli."
Extrait de son dernier roman, en cours d'écriture, pour faire écho à ses posts de ces derniers jours.
mercredi 28 décembre 2016
Apophtegmes
Apophtegme: Parole, expression mémorable, exprimée de façon claire et concise.
En 2017
Nous tisserons ensemble la paix dans les chaos du monde
Nous serons avec eux ses artisans aux mains nues
Nous repriserons patiemment ses guenilles et ses pièces usées
Nous apprendrons à dire en tout temps son fragile secret
Nous serons les uns pour les autres son hospitalité bienveillante et démunie...
Jean Lavoué (extrait)
Tableau : Yoel Tordjman Artist
Posté par Maela Paul
Nous serons avec eux ses artisans aux mains nues
Nous repriserons patiemment ses guenilles et ses pièces usées
Nous apprendrons à dire en tout temps son fragile secret
Nous serons les uns pour les autres son hospitalité bienveillante et démunie...
Jean Lavoué (extrait)
Tableau : Yoel Tordjman Artist
Posté par Maela Paul
Ecoute ton cœur
Et puis, quand plusieurs routes s'offriront à toi et que tu ne sauras pas laquelle choisir, n'en prends pas une au hasard mais assieds-toi et attends.
Respire profondément, avec confiance, comme le jour où tu es venue au monde, sans te laisser distraire par rien.
Ne bouge pas, tais-toi et ECOUTE TON CŒUR
Puis, quand il parlera, lève-toi et va où il te porte…
Susana TAMARO...
See MoreRespire profondément, avec confiance, comme le jour où tu es venue au monde, sans te laisser distraire par rien.
Ne bouge pas, tais-toi et ECOUTE TON CŒUR
Puis, quand il parlera, lève-toi et va où il te porte…
Susana TAMARO...
Chaque matin
Chaque matin, les hommes et les femmes qui prennent soin de la parcelle du réel qui leur est confiée, sont en train de sauver le monde, sans le savoir...
Christiane SINGER
Christiane SINGER
A beautiful Galway Christmas story
Burying Baby Jesus
My dad, Guard John Murphy, Killimor, Ballinasloe, died in Our Lady’s Hospice, Harold’s Cross, Dublin, aged forty-four, leaving my mother, aged thirty-nine, with ten children aged two and a half to eighteen years old.
On Christmas Eve of 1945, we spent most of the day playing outdoors in the snow while Mother stuffed a goose which had hung on a nail out in the back kitchen for several days. Mrs. O’Mara had sent the goose up to her with a basket of groceries. In the basket were sweets, biscuits and a bottle of raspberry wine, and a sweet cake for all of us. Before we went to bed that night we had a small party. We prayed and asked Santa not to forget us and we asked Baby Jesus to help Santa with our toys. Mother hung up our small stocking with big safety pins on a clothes line that hung over the fireplace.
Christmas morning we were all up bright and early. We tip-toed down the stairs and crept along the hallway so as not to awaken Mother. We took down our sock, and in it was a pair of knitted socks, a few sweets and a pencil. Not one toy for any of us, not even for the baby. After dinner we went to the church with the smaller children sitting up in the big pram. We looked into the manger crib. After all our praying Baby Jesus sent us nothing so we decided to hide Him under the straw. We climbed into the crib, pulled the straw up and hid the Baby Jesus under the straw as far down as we could. We then went home satisfied that Baby Jesus was hidden away. We told Bab Flood what we had done and she just smiled. She felt sorry for us and gave us some apples and oranges. The next day we went to the church only to see Baby Jesus back in his crib again. This time we buried the Baby Jesus again, but this time we used our shoe laces and tied him to the straw so that he couldn’t get out. Mother was very cross and wanted to know what happened to our laces but we never told her.
The Garda Superintendent heard about our dilemma and a few days later a phone call came to the barrack to say Santa hadn’t forgotten us and a large parcel was on its way from the Guards in the Depot Training Centre in Dublin. The parcel contained a beautiful doll, with a china face, drums, bugles, games of all kinds, a big fruit cake and socks for all of us. We were overjoyed. Baby Jesus had loved us after all, even though he was a little late. We paraded up and down the street of Killimor to the delight of Mother and neighbours. No-one could ever imagine the joy and happiness that parcel brought to Mother and her orphans.
Written by, and courtesy of Philomena Hill, (nee Murphy) formerly of Killimor, County Galway
Vitraux
Les gens sont comme des vitraux.
Ils brillent tant qu'il fait soleil mais, quand vient l'obscurité, leur beauté n'apparaît que s'ils sont illuminés de l'intérieur.
Elisabeth KÜBLER-ROSS - Revue ORBS, L'autre planète, n°5
Vitrail : Antoni RIGALL I BLANCH
Ils brillent tant qu'il fait soleil mais, quand vient l'obscurité, leur beauté n'apparaît que s'ils sont illuminés de l'intérieur.
Elisabeth KÜBLER-ROSS - Revue ORBS, L'autre planète, n°5
Vitrail : Antoni RIGALL I BLANCH
Transmis par Maela
Et celui de Rumi
Always remember you are braver than you believe, stronger than you seem, smarter than you think and twice as beautiful as you'd ever imagined.
Toujours, souvenez vous que vous êtes plus braves que vous ne le croyez , plus fort que vous le semblez , plus intelligent que vous le pensez et deux fois plus beaux que vous pourriez jamais imaginer .
Toujours, souvenez vous que vous êtes plus braves que vous ne le croyez , plus fort que vous le semblez , plus intelligent que vous le pensez et deux fois plus beaux que vous pourriez jamais imaginer .
Un message de Fabienne M.
"Je vous souhaite des rêves à n'en plus finir ..." disait Brel et en écho je poursuivrai avec ces lignes d'un auteur qui m'a marquée, Clarissa Pinkola Estes.
"Si l'on devait cesser de faire des rêves audacieux, alors les actes audacieux cesseraient aussi sur Terre.
Les rêves fous sont le carburant qui alimente le moteur de l'agir. Les rêves fous sont la fusée d'or qui propulse la force vitale de l'Etre. Ce qui ne peut se rêver, ne peut se réaliser. Insurgez-vous! N'anticipez pas, mais semez en tous lieux les rêves les plus beaux, les rêves les plus fous jailis de l'âme comme un cri."
"Si l'on devait cesser de faire des rêves audacieux, alors les actes audacieux cesseraient aussi sur Terre.
Les rêves fous sont le carburant qui alimente le moteur de l'agir. Les rêves fous sont la fusée d'or qui propulse la force vitale de l'Etre. Ce qui ne peut se rêver, ne peut se réaliser. Insurgez-vous! N'anticipez pas, mais semez en tous lieux les rêves les plus beaux, les rêves les plus fous jailis de l'âme comme un cri."
La gratitude
"La gratitude ouvre la porte à la richesse de la vie. Grâce à elle, ce que nous avons devient suffisant, et plus. Le refus devient acceptation, le chaos devient ordre, la confusion devient clarté. Elle peut transformer un repas en festin, un toit en chez-soi, un étranger en ami.
La gratitude donne un sens à votre passé, vous apporte la paix aujourd'hui, et crée une vision pour demain. "
Melody Beattie
Posté par Martine P.
Claude Gensac
Dans la nuit de lundi à mardi ; dans son sommeil , "Ma Biche " s'en est allée rejoindre le gendarme de St Tropez; à l'âge de 89 ans . Ici avec l'équipe de Elle s'en va en en 2013.
mardi 27 décembre 2016
Et on dit encore
On dit
Que les brises de la mer qui baigne les contre-jours
Écrivent des romans ou d'amour ou de sables
Sur l'écume qui part en voyage au long cours
Et que ces brises-là sont souvent détestables...
Que les brises de la mer qui baigne les contre-jours
Écrivent des romans ou d'amour ou de sables
Sur l'écume qui part en voyage au long cours
Et que ces brises-là sont souvent détestables...
On dit
On dit
Qu'il est des vents du sud qui savent des histoires
A glisser sous la plume des matins de printemps
Quand la nuit a laissé quelques pensées trop noires
Sur le bord d'un rêve qui veut vivre longtemps...
Joel Grenier (extrait à suivre)
Tableau : Bernard Coignard
Qu'il est des vents du sud qui savent des histoires
A glisser sous la plume des matins de printemps
Quand la nuit a laissé quelques pensées trop noires
Sur le bord d'un rêve qui veut vivre longtemps...
Joel Grenier (extrait à suivre)
Tableau : Bernard Coignard
Posté par Maela
lundi 26 décembre 2016
Martine F. et Johann
Le message de Martine en ce jour anniversaire du grand départ de son plus jeune enfant, Johann :
"Cette photo nous avait fait rire, Johann et moi. Voulant capter les roses, il en oubliait son reflet. Depuis sept ans, aujourd'hui, qu'il se trouve de l'autre côté du miroir, invisible mais présent, c'est lui qui nous réfléchit. Avec tout cet amour. De part et d'autre. "
Anne Roumanoff
J'ai postulé pour travailler dans un pressing et ils m'ont dit de repasser demain. Je ne sais pas comment fer.
Mieux vaut être une vraie croyante qu'une fausse septique.
Une lesbienne qui n'a pas de seins, c'est une homo plate ?
Le problème au Moyen-Orient, c'est qu'ils ont mis la charia avant l'hébreu
Un milliardaire change de Ferrari tous les jours, et un SDF change de porche tous les soirs.
J'ai l'intention de vivre éternellement, pour le moment, tout se passe comme prévu.
Je me demande si à moyen terme, le changement climatique finira par avoir des conséquences irréversibles sur les pizzas 4 saisons.
Comme dirait Dracula, j'irais bien boire un cou.
Quand un crocodile voit une femelle, il Lacoste.
Dieu a créé l'homme dix minutes avant la femme pour qu'il ait le temps d'en placer une.
Dieu a créé l'homme dix minutes avant la femme pour qu'il ait le temps d'en placer une.
Que celui qui n'a jamais bu me jette la première bière
Je déteste qu'on essaie de me faire passer pour un con, j'y arrive très bien tout seul.
Il y a 40 ans, la SNCF présentait le TGV. Grande invention qui permettait aux voyageurs d'arriver plus vite en retard.
Kadhafi est parti sans dire au revoir, ce nest pas Tripoli de sa part. C'est écrit dans la presse si tu libyen.
DSK sera désormais vigile au FMI : Il va monter Lagarde.
Ma femme me traite comme un Dieu : elle oublie totalement mon existence sauf quand elle a besoin de moi.
C'est en se plantant qu'on devient cultivé ...
Soyez gentils avec vos enfants : ayez toujours à l'esprit que ce sont eux qui choisiront votre maison de retraite.
Le mec qui a convaincu les aveugles de porter des lunettes de soleil est quand même un excellent commercial.
A l'école, on apprend aux enfants le passé simple, ils feraient mieux de leur faire apprendre le futur compliqué.
dimanche 25 décembre 2016
samedi 24 décembre 2016
Happy Xmas
Ne rien prévoir, sinon l'imprévisible. Ne rien attendre, sinon l’inattendu…
Christian BOBIN
Tableau : Yvonne ZOMERDIJK
Christian BOBIN
Tableau : Yvonne ZOMERDIJK
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