De nouvelles étreintes sont là : à portée de désir.
Quand j'épuise la poche de mes rêves avant que le sommeil ne me quitte.
Dans la marche à l'aube, guettant les premières lueurs d'un soleil rouge ardent ou le parfum d'une rose aux saveurs d'orange.
Quand je caresse du regard les feuillages mêlés, me courbe dans le balancement du saule - et partage le frisson des feuilles que l'hiver éparpille, la houle de l'herbe que le vent couche.
Quand je prête l'oreille au chant des fontaines - et salue la beauté des hommes surpris qu'on leur découvre un visage, une parole scellée dans le regard, un sourire au fond des yeux…
Il est si court le temps d'aimer. Comment en épuiser les occasions ?
Maela Paul - La Petite Colère (L'Harmattan)
Quand j'épuise la poche de mes rêves avant que le sommeil ne me quitte.
Dans la marche à l'aube, guettant les premières lueurs d'un soleil rouge ardent ou le parfum d'une rose aux saveurs d'orange.
Quand je caresse du regard les feuillages mêlés, me courbe dans le balancement du saule - et partage le frisson des feuilles que l'hiver éparpille, la houle de l'herbe que le vent couche.
Quand je prête l'oreille au chant des fontaines - et salue la beauté des hommes surpris qu'on leur découvre un visage, une parole scellée dans le regard, un sourire au fond des yeux…
Il est si court le temps d'aimer. Comment en épuiser les occasions ?
Maela Paul - La Petite Colère (L'Harmattan)
Création de Rene Myard
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