J’allais vers toi j’allais sans fin vers la lumière
La vie avait un corps l’espoir tendait sa voile
Le sommeil ruisselait de rêves et la nuit
Promettait à l’aurore des regards confiants
Les rayons de tes bras entrouvraient le brouillard
Ta bouche était mouillée des premières rosé
Le repos ébloui remplaçait la fatigue
Et j’adorais l’amour comme à mes premiers jours...
La vie avait un corps l’espoir tendait sa voile
Le sommeil ruisselait de rêves et la nuit
Promettait à l’aurore des regards confiants
Les rayons de tes bras entrouvraient le brouillard
Ta bouche était mouillée des premières rosé
Le repos ébloui remplaçait la fatigue
Et j’adorais l’amour comme à mes premiers jours...
Paul ELUARD - La mort, l’amour, la vie
Peinture : Edgar PAYNE- Posté par Maela
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