La seule chose qui nous maintient en esclavage est la croyance, non mise en question, que quelque chose de fondamental nous manque. Donc, par ignorance de notre état naturel, nous nous attachons aux gens et aux choses, convaincus que grâce à ces liens nous trouverons le bonheur et la satisfaction.
Mais cela ne marche jamais ainsi. Car là où il y a attachement, il y a peur de perdre. Et là où il y a la peur, il ne peut jamais y avoir de véritable bonheur ou de satisfaction profonde. (…)
Mais, dans ce monde d'obscurantisme, nous sommes tous profondément conditionnés à croire que le bonheur et la satisfaction se trouvent quelque part en dehors de nous-mêmes. Quand nous voulons véritablement être libres, nous renonçons à cette façon de penser. Nous la laissons tomber parce que nous avons eu des aperçus du bonheur profond qui est déjà présent au fond de notre conscience, un contentement continu qui ne sera nôtre que lorsque nous aurons enfin cessé de chercher à l’extérieur de nous-mêmes.
Andrew COHEN
Mais cela ne marche jamais ainsi. Car là où il y a attachement, il y a peur de perdre. Et là où il y a la peur, il ne peut jamais y avoir de véritable bonheur ou de satisfaction profonde. (…)
Mais, dans ce monde d'obscurantisme, nous sommes tous profondément conditionnés à croire que le bonheur et la satisfaction se trouvent quelque part en dehors de nous-mêmes. Quand nous voulons véritablement être libres, nous renonçons à cette façon de penser. Nous la laissons tomber parce que nous avons eu des aperçus du bonheur profond qui est déjà présent au fond de notre conscience, un contentement continu qui ne sera nôtre que lorsque nous aurons enfin cessé de chercher à l’extérieur de nous-mêmes.
Andrew COHEN
transmis par Maela
Photo : Régis Fève
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