J’appelle féminin cette qualité que la femme réveille au cœur de l’homme, cette corde qui vibre à son approche.
J’appelle féminin le pardon des offenses, le geste de rengainer l’épée lorsque l’adversaire est au sol, l’émotion qu’il y a à s’incliner.
J’appelle féminin l’oreille tendue vers l’au-delà des mots, l’attention qui flotte à la rencontre du sens, le palpe et l’enrobe.
J’appelle féminin l’instinct qui au-delà des opinions et des factions flaire le rêve commun.
Sculpture : Marie Paule Deville Chabrolle, Sculptures
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