Cette clarté nue convoitée venue d’où de quelle faille quelle espérance de quelle gorge abrupte et rauque d’où arrachée ? Laurence VERREY – Vous nommerez le jour
[Photo : Œuvre de Stephen Robert KOEKKOEK]
1 commentaire:
Tarteenmother
a dit…
Un beau clin d’œil, en ce 18 août, par les arbres illustrés et les mots "vous nommerez le jour". Je le nomme, c'est celui de l'amour. Merci pour ces beaux textes qui, forcément, parlent un jour ou l'autre à chacun de nous.
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Un beau clin d’œil, en ce 18 août, par les arbres illustrés et les mots "vous nommerez le jour". Je le nomme, c'est celui de l'amour. Merci pour ces beaux textes qui, forcément, parlent un jour ou l'autre à chacun de nous.
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