Il est des jours comme ça où plus rien n'a de sens. Où indéfiniment, les mots au bord des larmes, on cherche ses racines, sans plus rien voir du ciel. Un peu plus loin la mer fait des gouttes salées qui coulent à l'envers. Le grand fatras des terres à vif, arrachées, labourées.
Et lentement le jour apostrophe l'idée de retourner sur vous, de redresser la tête et de vous réveiller. De retrouver les mots qui ressemblent à l'endroit.
Le soir alors en est posé. Et tout dans le désordre peut bien continuer puisque la vie est là. Et vivre c'est bouger, des racines aux feuilles, à l'envers à l'endroit, sans jamais s'arrêter.
Aller où l'arbre ouvre les branches...
Et lentement le jour apostrophe l'idée de retourner sur vous, de redresser la tête et de vous réveiller. De retrouver les mots qui ressemblent à l'endroit.
Le soir alors en est posé. Et tout dans le désordre peut bien continuer puisque la vie est là. Et vivre c'est bouger, des racines aux feuilles, à l'envers à l'endroit, sans jamais s'arrêter.
Aller où l'arbre ouvre les branches...
©jeandiharsce
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