J’AVAIS PENSÉ QUE TU SERAIS CELUI QUI ME CONSOLERAIT.
Tu me consolerais du sentiment déchirant de se savoir en vie
et pourtant que de passage. Tu me consolerais de ce que la vie
ne soit qu’une insupportable succession de pertes. De ce que rien ne dure
et que tout s’efface. De ce qu’on s’efface.
Laurence Tardieu - Un temps fou
Transmis par Edith Berthuit
Photo : Katsuji FUKUDA
Tu me consolerais du sentiment déchirant de se savoir en vie
et pourtant que de passage. Tu me consolerais de ce que la vie
ne soit qu’une insupportable succession de pertes. De ce que rien ne dure
et que tout s’efface. De ce qu’on s’efface.
Laurence Tardieu - Un temps fou
Transmis par Edith Berthuit
Photo : Katsuji FUKUDA
J'ai exprimé ca moi aussi
Bien que de me savoir en vie mais seulement de passage me ravissait et me ravit toujours.
J'ai eu dans ma vie celui qui consolait
celui qui en consolant me rendait le pouvoir de ne même plus souffrir de ne pas savoir aimer assez
Et puis , dans l'ordre des choses , comme rien ne dure , il a comme disparu !
C'est la loi de l'impermanence qui veut ça .
Mais est ce que tout s'efface ou est-ce que tout s'imprime intact dans les Annales de ce Temps fou ? Akasha ! Akasha es-tu là et gardes -tu le trace de ces amitiés si sacrées qu'elles auraient pu durer toute une éternité comme il l'avait suggéré ? .
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