« La Petite Colère » édité en 2010 m’a valu quelques retours de lecteurs et lectrices – comme aucun autre ouvrage n’en a été l’occasion – dont celui-ci :
- Bonjour Maela, J’ai lu votre livre et en suis ressorti très touché. Nous portons probablement chacun en nous un ou des souvenirs d’épisode douloureux qui ont bouleversé notre vie affective. J’ai moi-même eu plusieurs vies de couple, j’ai quitté et été quitté. J’ai aussi été trahi dans la plus extrême des douleurs qui m’a relégué à la frontière du supportable.
Je suis aujourd’hui debout, plus que jamais scellé à un socle universel, ancré à la vie et à ses valeurs fondamentales.
Je ne puis apporter de commentaires sur le fond de votre récit tant son intimité expose sublimement - et courageusement – l’essence d’une souffrance inadmissible. Comme vous le dites, que peut dire l’autre, que peut-il offrir, quels mots, quels gestes ? Je dirais seulement, pauvrement peut-être, prêter son épaule, serrer dans ses bras, pleurer avec si nécessaire, offrir son sourire et ses larmes, être présent. C’est peu, sans doute.
Votre écriture m’a bouleversé par sa qualité exceptionnelle, sa puissance, sa justesse, son incroyable honnêteté. Vous parlez juste, brillamment et dans une langue poétique immensément riche qui atteint dès les premiers mots le fond de l’âme.
Les dernières pages ont fait monter en moi des larmes que rien n’aurait pu retenir.
Merci pour ce récit partagé. Je vous souhaite de tout cœur de trouver, où qu’il soit, le bonheur d’être, et de le cultiver rageusement.
Nous sommes bien conscients du fait, tout à fait respectable, que nos partages sur les "réseaux sociaux" ont parfum d’offrande et de quête.
Je vous embrasse et vous offre toute mon amitié.
Philippe
Je suis aujourd’hui debout, plus que jamais scellé à un socle universel, ancré à la vie et à ses valeurs fondamentales.
Je ne puis apporter de commentaires sur le fond de votre récit tant son intimité expose sublimement - et courageusement – l’essence d’une souffrance inadmissible. Comme vous le dites, que peut dire l’autre, que peut-il offrir, quels mots, quels gestes ? Je dirais seulement, pauvrement peut-être, prêter son épaule, serrer dans ses bras, pleurer avec si nécessaire, offrir son sourire et ses larmes, être présent. C’est peu, sans doute.
Votre écriture m’a bouleversé par sa qualité exceptionnelle, sa puissance, sa justesse, son incroyable honnêteté. Vous parlez juste, brillamment et dans une langue poétique immensément riche qui atteint dès les premiers mots le fond de l’âme.
Les dernières pages ont fait monter en moi des larmes que rien n’aurait pu retenir.
Merci pour ce récit partagé. Je vous souhaite de tout cœur de trouver, où qu’il soit, le bonheur d’être, et de le cultiver rageusement.
Nous sommes bien conscients du fait, tout à fait respectable, que nos partages sur les "réseaux sociaux" ont parfum d’offrande et de quête.
Je vous embrasse et vous offre toute mon amitié.
Philippe
Publié par Maela Paul dont je ne saurais trop vous recommander le livre . Aux edition L'Harmattan mais aussi sur Amazone
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